Nos habitations narratives
Centre ville
À travers une série d’images qui convoquent les histoires bibliques, des romans-monuments comme Moby Dick ou des fragments de notre imaginaire contemporain, Camille de Toledo nous dépeint les traits d’une silhouette familière : les « sapiens narrans », les humains épris de narrations, de fictions.
Il nous aide à voir comment notre espèce structure les formes de son habitation à travers des « habitats narratifs », qui peuvent sauver la vie, mais bien souvent la détruisent : oubli du monde, de la nature dans nos « ébriétés fictionelles » … sur notre « condition fictionnelle ».